Conference abstract
Connaissances, attitudes et pratiques des diabétiques sur les complications oculaires du diabète (Togo)
Pan African Medical Journal - Conference Proceedings. 2023:19(44).23
Nov 2023.
doi: 10.11604/pamj-cp.2023.19.44.2117
Archived on: 23 Nov 2023
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Keywords: Diabète, complications oculaires, Togo
Poster
Connaissances, attitudes et pratiques des diabétiques sur les complications oculaires du diabète (Togo)
Kodjo Kossi Serge David1,&, Klouvi Koffi1, Fotso Michèle1, Tchala Abou Bakari1, Djagadou Agbéko Kodjo1, Djibril Mohaman1
1Département de Médecine Interne et Endocrinologie au CHU Sylvanus Olympio, Lomé, Togo
&Auteur correspondant
Introduction: le but de cette étude était d'évaluer les connaissances, attitudes et pratiques des diabétiques sur les complications oculaires du diabète à Lomé.
Méthodes: nous avons mené une étude transversale auprès des diabétiques du 1er avril au 31 juin 2020, dans 6 centres du diabète à Lomé. Le taux de réponse correct a été établi. Connaissances: faibles (≤ 50 %), assez faibles (50% - 65%), moyennes (65% - 85%) et bonnes (≥ 85%). Attitudes: nuisibles (≤ 50%), erronées (50% - 65%), approximatives (65% - 85%) et justes (≥ 85%). Pratique: nuisible (≤ 50%), inadéquate (50% - 65%) et adéquate (> 65%).
Résultats: cinquante patients ont été inscrits. L'âge moyen était de 56,98 ± 13,37 ans avec un sex ratio de 1,1. Le niveau global de connaissances était insuffisant (50,6 %) avec 65,5% pour les connaissances générales sur le diabète et 35,8 % pour les complications oculaires du diabète. Les attitudes étaient approximatives (68,7 %). En cas d'hyperglycémie, 31,3% des patients se confieraient à un diabétologue et 22,0% à un médecin généraliste. En cas de diminution de la vision, 84,3% des patients contacteraient l'ophtalmologiste. Le niveau de pratique était nocif (20,4%). Trente six virgule sept pourcent (36,7%) des patients ont déjà vu un ophtalmologiste, 41,3% ont réalisé un examen du fond d'œil, 17,3% une angiographie rétinienne, 4% une photocoagulation rétinienne au laser et 2,7% une injection intravitréenne (IVT).
Conclusion: cette étude a montré que le niveau de connaissance était faible, les attitudes approximatives et les pratiques nuisibles.
Connaissances, attitudes et pratiques des diabétiques sur les complications oculaires du diabète (Togo)
Kodjo Kossi Serge David1,&, Klouvi Koffi1, Fotso Michèle1, Tchala Abou Bakari1, Djagadou Agbéko Kodjo1, Djibril Mohaman1
1Département de Médecine Interne et Endocrinologie au CHU Sylvanus Olympio, Lomé, Togo
&Auteur correspondant
Introduction: le but de cette étude était d'évaluer les connaissances, attitudes et pratiques des diabétiques sur les complications oculaires du diabète à Lomé.
Méthodes: nous avons mené une étude transversale auprès des diabétiques du 1er avril au 31 juin 2020, dans 6 centres du diabète à Lomé. Le taux de réponse correct a été établi. Connaissances: faibles (≤ 50 %), assez faibles (50% - 65%), moyennes (65% - 85%) et bonnes (≥ 85%). Attitudes: nuisibles (≤ 50%), erronées (50% - 65%), approximatives (65% - 85%) et justes (≥ 85%). Pratique: nuisible (≤ 50%), inadéquate (50% - 65%) et adéquate (> 65%).
Résultats: cinquante patients ont été inscrits. L'âge moyen était de 56,98 ± 13,37 ans avec un sex ratio de 1,1. Le niveau global de connaissances était insuffisant (50,6 %) avec 65,5% pour les connaissances générales sur le diabète et 35,8 % pour les complications oculaires du diabète. Les attitudes étaient approximatives (68,7 %). En cas d'hyperglycémie, 31,3% des patients se confieraient à un diabétologue et 22,0% à un médecin généraliste. En cas de diminution de la vision, 84,3% des patients contacteraient l'ophtalmologiste. Le niveau de pratique était nocif (20,4%). Trente six virgule sept pourcent (36,7%) des patients ont déjà vu un ophtalmologiste, 41,3% ont réalisé un examen du fond d'œil, 17,3% une angiographie rétinienne, 4% une photocoagulation rétinienne au laser et 2,7% une injection intravitréenne (IVT).
Conclusion: cette étude a montré que le niveau de connaissance était faible, les attitudes approximatives et les pratiques nuisibles.